APG|SGA est la première entreprise d’affichage de Suisse à proposer à ses clients un service exclusif de création de supports publicitaires au moyen de l’IA générative. Les clients qui souhaitent créer leur campagne analogique ou numérique via l’outil de libre-service « SGA|SGA easy« , peuvent désormais saisir leur briefing pour la création directement dans le processus de réservation. En arrière-plan, un sujet publicitaire unique sera créé à l’aide des technologies d’intelligence artificielle les plus récentes. Ce nouveau service est proposé gratuitement.
Ce service n’est pour l’instant offert qu’en allemand
Les francophones et italophones devront encore attendre mais du côté de APG|SGA, on sait que la demande sera au rendez-vous. Comme nous l’a précisé la responsable de la communication Nadja Mühlemann, en 2023 plus de 3200 clients ont utilisé l’outil APG|SGA easy pour faire de la planification média.. de là à ce qu’ils passent à la création assistée par de l’IA, il n’y a qu’un pas!
« Lorsque nous aurons acquis suffisamment d’expérience et que la situation juridique (« governing law ») sera plus claire, d’autres langues suivront. »
Comment ça marche ?
La procédure est simple : lors du processus de réservation, les souhaits et les besoins sont définis à l’aide de paramètres prédéfinis, En arrière-plan, le support publicitaire est généré par l’IA. « S’ils le souhaitent, les annonceurs peuvent entrer en contact avec des spécialistes de l’IA de la SGA|SGA afin d’élaborer, dans un premier temps, un brouillon et dans une étape ultérieure, finaliser celui-ci jusqu’à l’obtention d’un « bon à publier », relève cette responsable.
Dominik Franke, CITO (Chief Information & Technology Officer chez APG|SGA), déclare : « Le développement de plates-formes technologiques, comme par exemple nos solutions de commerce électronique, fait partie de nos compétences clés. Les sujets publicitaires générés par l’IA sont la prochaine étape logique en vue d’offrir à nos clients une expérience numérique unique et à valeur ajoutée ».
Reste une question de poids : à qui appartiendront ces images ? Au logiciel, à l’afficheur ou au client ? La question reste totalement ouverte ?