Dans sa dernière chronique, Gilles Dumont, partner chez Creatives, revenait sur un visuel de la banque Cler qui a été retiré du domaine publique car jugé inapproprié selon la loi cantonale vaudoise interdisant les publicités sexistes. La raison de son texte n’était pas de s’interroger sur le bienfondé ou non de cette interdiction mais de se mettre dans la tête du publicitaire qui doit changer de logiciel pour être en accord avec sa personne et son temps. Pour aborder la question du « sexisme » dans la pub, nous avons également invité Léa Budaudi dont l’agence Minuit-Une a un positionnement inclusif.