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Des annonceurs s’unissent pour lancer « Restart Swizterland », une campagne pour relancer l’économie

Le semi-confinement décidé en réponse au Covid-19 n’a pas seulement freiné les activités sociales, mais aussi plongé l’économie suisse dans un immobilisme partiel. Pour stimuler à nouveau la conjoncture après les premiers assouplissements des mesures de lutte contre le coronavirus, des actions s’imposent pour permettre à l’économie suisse de se rétablir. L’initiative «Restart Switzerland» est l’une d’elles.

Comme dans tous les autres secteurs de l’économie, la branche publicitaire dépend de la bonne santé de l’économie. Pour cette raison, l’agence publicitaire zurichoise Inhalt und Form, associée à ses partenaires, a lancé l’initiative «Restart Switzerland».

Elle a créé une campagne nationale destinée à sensibiliser la population suisse à l’importance de la consommation. Dans ce cadre, elle montre qu’en effectuant un achat, on ne se fait pas seulement plaisir à soi-même, mais indirectement aussi à d’autres, tout en redonnant vie à l’économie suisse. Sur ce principe, l’achat d’un paquet de chips peut avoir pour conséquence d’accroître le taux des naissances dans notre pays.

Outre les partenaires de prestations Goldbach et les sociétés de production Zweihund, Covermedia et l’agence de traduction Diction, les annonceurs Emmi, Emil Frey, Ochsner Sport, Profital, Promena, Sanofi, Fruit-Union Suisse, TCS et Zweifel ont été séduits par cette initiative, de sorte qu’ils font partie de la campagne avec leurs produits et services. Par ailleurs, les associations professionnelles Association Suisse des Annonceurs (ASA) et Promarca soutiennent également ce projet.

Plan média
La campagne démarre le 25 juin avec, outre les spots télévisés, des vidéos en ligne, display ads, DOOH et annonces, sans oublier la page de destination restart-switzerland.ch.

«Il est bon de voir qu’en si peu de temps et dans des conditions rendues difficiles par le Covid-19, nous sommes parvenus à réaliser une telle campagne avec le concours de nos membres et partenaires. Cela n’a pu fonctionner que parce que nous tirons tous à la même corde», estime Roland Ehrler, directeur de l’ASA.

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