– Comment s’annonce le prochain salon ?
Très bien, nous prévoyons une croissance de 30% du nombre des exposants. A trois mois de l’événement, nous avons déjà le même nombre d’exposants signés qu’en 2012. Comme nous allons agrandir notre surface d’exposition, il nous reste encore quelques places. Mais il faut se dépêcher au plus vite !
Côté visiteurs, nous visons une fréquentation de quelque 2000 visiteurs. Je rappelle que l’événement est gratuit pour autant que l’on s’inscrive sur le site. Sinon, à l’entrée on devra s’acquitter de CHf 15.-.
– Des tendances se dessinent-elles ?
Oui. Cette année, les nouveaux venus sont incontestablement les agences digitales (référencement, réseaux sociaux, emarketing). L’image aura également une part plus importante avec la présence de spécialistes de la vidéo et de l’affichage sur grand écran. Par ailleurs, je constate l’arrivée en plus grand nombre de sociétés techniques proposant des solutions complètes du code au CRM.
Sinon la majorité des exposants proviennent du monde du e-commerce (notamment les solutions open source) et du mobile (développeurs d’applications).
Cette année eCom Genève sera plus international avec plus d’exposants européens.
– L’intégration des prestations est-elle un mouvement que l’on observe sur tous les marchés ?
Spécialement en Suisse compte tenu de la place du secteur du luxe qui contraint les marques à avoir une approche marketing transmédia (site, e-commerce, réseaux sociaux, CRM, vente en boutique, etc..). Dès lors l’intégration de toutes ces données s’avère primordiale pour des entreprises évoluant sur des marchés internationaux et globaux. Cette tendance devrait se renforcer au fil du temps.
– Parallèlement aux stands, il y a les conférences et séminaires. Avez-vous déjà établi le programme ?
C’est en cours et je ne manquerai pas d’en informer au plus vite le public de Cominmag.