– Je souhaite rassembler les acteurs majeurs du e-commerce suisses romands et de France voisine (la région Rhône Alpes), c’est-à-dire du porteur de projet au prestataire de solutions techniques.
-S’agit-il d’un salon pour « geeks » ?
– Absolument pas. Pour preuve la 20e de conférences qui se veulent orientées clients et ne sont aucunement des sessions dédiées aux développeurs. Ce ne sera pas un « BarCamp » !
-Quel est le public-type ?
Décideurs de PME et grands comptes (Suisse et France – Région Rhône-Alpes)
Porteurs de projets, créateurs d’entreprises
Pures players, start-up
Responsables de sites E-commerce, web-manager, e-marketing manager
Responsables Marketing et Communication
Responsables IT
Responsables Logistique
-En plus des stands d’exposants, il y aura des conférences et des animations. Qu’en est-il exactement ?
-Près de 60 professionnels seront présents via des stands, des conférences thématiques ou des speedconfs. Parmi les services innovants et gratuits, les visiteurs pourront faire analyser en live leurs sites de l’ergonomie au référencement par des spécialistes de l’Eye tracking. Il y aura aussi de l’animation 3D avec la présentation du calibre 1887 de TAG Heuer sur un écran tactile de 152 cm équipé d’une dalle Ultra Haute définition (8M de pixels). Enfin, une conférence de clôture autour du Marketing Digital.
-Pourquoi avoir mis l’Open Source à l’honneur ?
– Parce que c’est la généralisation des solutions open source qui a permis le développement du e-commerce. Ces nouveaux logiciels ont abaissé les coûts d’entrée et ont ainsi fait émerger une offre commerciale en ligne qui n’existait pas. Une évolution technologique qui a suivi le changement de comportement du public suisse qui était, voire encore peu, rétif à toute transaction en ligne.
-Quel conseil donneriez-vous à toute personne voulant se lancer dans le e-commerce ?
-De ne pas oublier qu’un lancement comprend des frais de développement et de promotion. On oublie trop souvent cette dernière partie et ne pouvoir s’offrir une campagne d’adwords parce qu’on n’a plus de moyens est une erreur stratégique qui peu coûter très cher.
Victoria Marchand