La société de conseil et de recherche Accelerom ainsi que Publimedia,l’unité Key Account de Publicitas pour les annonceurs nationaux et suprarégionaux ainsi que pour leurs agences de publicité et médias, présentent conjointement les résultats d’une étude de marché inédite, 360TEV. Celle-ci démontre que les points de contact traditionnels avec les consommateurs, tels que le conseil personnalisé, continuent de jouer un rôle absolument crucial, même à l’ère du numérique. Parallèlement, les supports publicitaires classiques, c.-à-d. les spots TV, les annonces et les affiches, maintiennent leur position dans l’univers médiatique actuel. Les médias online gagnent néanmoins du terrain.
Quels sont les médias et les points de contact qui influent sur la décision d’achat ?
S’agit-il des annonces, du conseil personnalisé, de l’émission de consommateurs « Kassensturz » sur la télévision suisse-alémanique, de Google, des journaux gratuits, des spots TV, de Facebook, du sponsoring, des affiches, de Twitter ou encore d’autres facteurs ? Une étude de marché pionnière totalement inédite, basée sur une approche de recherche à 360°, appelée 360TEV (360° Touchpoint Efficiency Valuator), montre pour la première fois quel type et quel nombre de contacts entre consommateurs et entreprises contribuent effectivement à la décision d’achat: Le résultat est surprenant: sur les 70 « touchpoints » (points de contact) étudiés, dix-sept ont une influence centrale sur la décision d’achat des consommateurs suisses.
L’entretien de conseil et les informations personnalisées sont particulièrement efficaces
Le conseil personnalisé (point of interest – POI), la vente directe sur le lieu de vente (point of sale – POS) et les informations données par les amis et la famille restent des « touchpoints » d’importance absolument prioritaire. L’étude explique ces résultats par le fait que les consommateurs prennent leur décision d’achat avant tout en se fiant aux recommandations personnelles d’amis ou aux conseils de vendeurs professionnels.
Internet prend une importance accrue – les médias classiques maintiennent leur position
Internet contribue de manière décisive à la recherche active et à l’approfondissement des informations, ainsi qu’à l’interaction avec les clients : une personne sur deux fait des recherches sur Google et se rend sur le site du fournisseur avant d’acheter un produit. Par ailleurs, les consommateurs suisses s’informent par le biais de portails de comparaison de prix afin de confronter les offres et les prestations. Dans ce nouveau paysage de la communication, les médias de base classiques tels que la télévision, les journaux et les affiches conservent toute leur importance selon l’étude, car ils bénéficient d’une forte pénétration et attirent l’attention sur de nouveaux produits et services.
Les réseaux sociaux sont essentiellement consacrés au divertissement
Déjà plus de 2 millions de Suisses utilisent aujourd’hui Facebook: parfaitement interconnectés, les consommateurs partagent aujourd’hui des informations 24 heures sur 24. Cependant, pour le moment, les réseaux sociaux n’ont globalement encore que peu d’effets sur la vente directe. Qu’il s’agisse de Facebook, de Twitter, de Xing ou de LinkedIn, les réseaux sociaux servent avant tout à l’échange et au divertissement. La présence sur ces plates-formes de réseaux sociaux peut néanmoins avoir un effet positif sur le développement d’une marque ou la préférence pour une marque.