Autres raisons invoquées, la congrégation a besoin d’argent frais pour faire vivre la cinquantaine de religieuses résidant à Fribourg et soutenir d’autres communautés de l’ordre en Asie et en Afrique.
Cette transaction ne porte pas sur les parts que les Soeurs possèdent dans les quotidiens La Gruyère, Freiburger Nachrichten, Quotidien jurassien, ni sur la régie publicitaire Média F, les éditions et la librairie du Vieux-Comté. Le patrimoine immobilier n’est pas touché.
Groupe E et la BCF créeront une société baptisée Sofripa SA qui deviendra propriétaire du tiers du capital. L’objectif étant à moyen terme de devenir majoritaire de La Liberté.