En Suisse romande par contre, la situation est différente, car une CCT règle les conditions de travail des journalistes de la presse, et des institutions paritaires veillent sur leur application.
Une trop grande surcharge met en danger la santé. S’il manque une CCT, pour la protection de la santé il ne reste plus que la Loi sur le Travail. Elle prévoit la durée maximale de travail (45 heures pour les journalistes) et exige de l’employeur de manière impérative qu’il saisisse la durée de travail. Cela va aussi sans bureaucratie – aussi sans timbrage.
impressum a des informations par lesquelles les temps de travail au «Tages-Anzeiger» et dans beaucoup d’autres rédactions ne sont pas saisis et que les journalistes sont régulièrement et fortement surchargés. Si c’est le cas Tamedia viole la Loi sur le Travail.