Un titre de la presse magazine qui s’offre deux pages de publicité dans le Tages-Anzeiger… c’est tellement rare que cela devient un sujet. Surtout si l’on sait que le magazine en question à la Weltwoche, le titre du trublion et très UDC Roger Koppel.
Et on se doute de choisir pour texte « Nous pouvons aussi être parfois à gauche », à quelques jours des élections fédérales à de quoi surprendre. Que doit-on comprendre ?
Pour le titre Persöhnlich, on y voit une forme de provocation d’autant que la page de droite est totalement vide. Et vu le prix d’une double page… cela peut laisser un brin dubitatif car le prix d’une double page n’est plus à la portée de toutes les budgets marketing.
Qu’en conclure ? Que la Weltwoche cherche à augmenter son réseau d’abonnés et que fidèle à sa ligne, il en fait une opération de communication. Mais est-ce le bon moyen pour augmenter les revenus du magazine. Tablons que nous n’en saurons jamais rien!