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Le secteur de l’événementiel demande la poursuite systématique de la stratégie des 3 « G »

En raison de la situation actuelle, l’Alliance des associations d’organisateurs de manifestations demande une poursuite conséquente de la stratégie 3G (geimpft, genesen, getestest //vacciné, rétablit et testé)  établie et fonctionnant bien dans le secteur des manifestations. Parallèlement, elle soutient la demande de la Commission de la sécurité sociale et de la santé publique du Conseil national, qui souhaite que la Confédération prenne à nouveau en charge les coûts des tests Covid-19.

Pour le secteur de l’événementiel, la possibilité d’organiser des événements, des salons et des congrès avec une stratégie 3G est existentielle et constitue le seul moyen de continuer à assurer les activités économiques relancées et donc la pérennité économique. Contrairement aux fermetures d’entreprises ou aux interdictions strictes, l’obligation de la 3G entraîne moins de coûts économiques consécutifs. Une chose est sûre : Des mesures encore plus radicales ne sont pas (plus) supportables pour le secteur de l’événementiel après le 1er lockdown.

Le secteur de l’événementiel est l’un des rares secteurs à soutenir depuis des mois déjà des mesures 3G à grande échelle et il est l’exemple même que la mise en œuvre de cette stratégie  a des effets positifs : Grâce à la 3G, la société peut à nouveau participer à la vie économique et culturelle. De même, la stratégie 3G garantit l’existence du secteur de l’événementiel. Un nouveau durcissement vis-à-vis du secteur de l’événementiel, fortement mis à contribution dès le départ, étoufferait dans l’œuf les activités économiques qui ont été relancées. Le secteur ne pourrait plus faire face à cette situation par la suite.

Un retour à la normale sera long
Depuis 2020, la situation s’avère déjà extrêmement difficile pour le secteur après la longue période de vaches maigres, la mise en œuvre coûteuse en temps et en argent des mesures existantes ainsi que le comportement réticent des visiteurs et la volatilité des clients. De plus, une fois toutes les mesures levées, il faudra encore six à douze mois pour que la branche retrouve une activité normale. Étant donné que la rentabilité des manifestations, congrès et salons s’avère déjà difficile dans le contexte des obligations existantes, l’Alliance de la branche événementielle demande avec insistance le maintien des conditions de travail ou d’admission (3G) existantes.

Victoria Marchand

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