Accusant le service public d’être à l’origine de la concentration de la presse suisse, il a déploré le développement de la SSR qui, depuis l’époque d’Armin Walpen, « a créé 18 radios, 8 canaux de télévision et a développé des sites internet comprenant trop de texte. »
Estimant que les relations entre la presse écrite et le service public audiovisuel sont au plus mal, il a annoncé un durcissement de la position des éditeurs qui vont constituer une task force pour stopper ce développement par des moyens plus politiques.