Etude : La TV est le média qui a le plus d’influence sur les Suisses
Monitoring médias Suisse 2017 étudie le potentiel des marques ou des types de médias sur la formation de l’opinion et renseigne sur l’influence des groupes de médias sur l’opinion. Par ailleurs, l’étude annuelle nous éclaire sur les structures de propriété, l’enchevêtrement des entreprises et les pouvoirs économiques sur le marché des médias en Suisse.
La formation libre et équilibrée de l’opinion est une condition de base à la bonne marche des sociétés démocratiques. Une formation libre de l’opinion n’est toutefois garantie que si les citoyennes et citoyens ont accès aux informations, perspectives et positions pertinentes, par ex. avant des élections, lors de décisions d’achats ou avant la fréquentation d’événements culturels. C’est pourquoi les médias jouent un rôle primordial dans la diffusion de l’information auprès de la population et dans la défense de la diversité d’opinions.
Monitoring médias Suisse étudie la contribution des médias dans la formation de l’opinion. Sur la base de données actualisées chaque année, le paysage médiatique suisse est passé au crible et observé sous différents angles: informez-vous sur l’influence qu’exercent les marques de médias, les types de médias ou les groupes de médias sur la formation de l’opinion, dans toute la Suisse, dans les régions linguistiques et dans 14 espaces médias régionaux. Découvrez les structures de participation des marques de médias et le rôle économique des grands groupes de médias sur le marché Suisse.
Moniteur médias Suisse est une étude de Publicom AG, mandatée par l’Office fédéral de la communication (OFCOM).
Influence sur l’opinion en fonction de la région
Influence sur l’opinion vs pouvoir de marché
Influence sur l’opinion et pouvoir de marché sont intimement liés: les différentes marques et les différents types de médias ont une influence variable sur la formation de l’opinion du public. Mais les médias populaires et largement diffusés exercent une grande influence sur la formation de l’opinion de la population suisse, ne serait-ce que par la fréquence de leurs contacts avec les utilisateurs.