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DLG renforce son conseil d’administration

DLG (Digital Luxury Group) a nommé Christiaan de Lint au poste de Président non exécutif, succédant à Tibère Adler, qui reste conseiller stratégique du conseil d’administration. Fort de 25 ans d’expérience dans le secteur du private equity et co-fondateur de Headway Capital Partners basé à Londres, de Lint apporte une expertise précieuse à DLG alors que l’entreprise s’engage dans sa stratégie de croissance externe.

Dans ses nouvelles fonctions, Christiaan de Lint travaillera en étroite collaboration avec le fondateur et CEO David Sadigh, le co-président Marc Berrebi, le directeur Chine et nouveau membre du conseil d’administration Pablo Mauron, et l’équipe de direction pour faire avancer l’ambitieuse stratégie de « buy-and-build » de l’entreprise.

Bientôt en mode SaaS
DLG vise à s’établir comme la principale entreprise SaaS d’intelligence d’affaires pour les secteurs du luxe et du lifestyle. Complétant ses services établis de création et de marketing ainsi que son activité de conseil stratégique, DLG prévoit d’enrichir son offre par le développement de logiciels SaaS propriétaires et l’acquisition stratégique d’entreprises de logiciels de données et d’IA.

L’annonce de la première acquisition SaaS de DLG est prévue dans les mois à venir. Cette initiative vise à créer une plateforme complète qui permettra aux marques de luxe de relever les défis de l’industrie et d’optimiser leurs performances à travers les canaux de marketing et de distribution. Les clients existants de DLG seront les premiers à bénéficier de cette technologie.

Le luxe reste un marché intéressant
« L’industrie du luxe est un marché stable et en croissance qui connaît une transformation significative tout au long de la chaîne de valeur du consommateur », a déclaré Christiaan de Lint. « DLG est à l’avant-garde de cette évolution, tirant parti de ses capacités intégrées de marketing stratégique et opérationnel, ainsi que de son expertise robuste en matière de données et d’insights. Cela positionne DLG comme un disrupteur idéal. »

Le marché chinois reste-t-il intéressant ? David Sadigh, répond ainsi à Cominmag : « Il y a un ralentissement des ventes en Chine pour les marques qui est lié au ralentissement économique du marché, en lien notamment avec le marché de l’immobilier. Les ventes reprennent dans des pays voisin grâce à au travel retail, et notamment au Japon qui enregistre d’excellentes performances notamment grâce aux touristes chinois. Dans tous les cas cela reste le marché numéro 1 ou 2 pour de très nombreuses marques, et d’après nos chiffres l’Inde ou l’Arabie Saoudite sont très loin de pouvoir rivaliser avec la taille du marché chinois. »

Victoria Marchand

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