Rapport sur le marché de la facturation électronique
Les processus de traitement des factures par voie électronique permettent de réduire les coûts de 50 à 80% par rapport aux processus papier. Les investissements dans le traitement de factures électroniques sont donc souvent amortis en moins de 6 mois.
De nombreuses sociétés utilisent déjà des processus électroniques. En 2012, on estime que plus de 15 milliards de factures à l’échelle mondiale et environ 4,5 milliards en Europe seront envoyées et archivées sans utiliser de papier.
En raison de l’importance de la dette du secteur public, ce segment doit automatiser ses processus et réduire ses coûts de manière considérable. Le potentiel d’optimisation du secteur en Europe seule devrait s’élever à au moins 40 milliards d’euros.
De plus en plus d’acheteurs s’attendent à recevoir des factures électroniques de la part de leurs fournisseurs. Par conséquent, des taux de croissance durable de 20 à 30% sont prévus pour le marché des factures électroniques au cours des années à venir.
En raison de l’attrait de ce marché, plusieurs centaines de fournisseurs de services et d’éditeurs de logiciels proposent leurs solutions de facturation électronique. L’offre ne manque donc pas. Au contraire, les utilisateurs sont actuellement à la recherche d’informations exhaustives sur le sujet. Un nouveau rapport du marché est fourni à titre d’aide pour les sociétés qui souhaitent choisir le modèle qui leur conviendrait le mieux et trouver une solution adaptée. Son auteur est l’analyste international du marché Bruno Koch de Billentis.
Ce rapport devrait aider les expéditeurs et destinataires de factures qui souhaitent remplacer les processus de facturation onéreux sur papier par des processus modernes et automatisés. Il inclut les chiffres et informations les plus importants sur le marché. Outre les faits sur le développement du marché et les initiatives connexes (normes, lois), le lecteur y trouvera aussi des analyses qualitatives et de nombreux détails sur plusieurs offres de solutions.
