Le Club suisse de la presse est distingué par l’Organisation internationale de la Francophonie
A l’occasion de la journée mondiale de la francophonie, le Club suisse de la presse s’est vu décerner le Prix 2022 du Groupe des ambassadeurs francophones (GAF) de Genève, une émanation de l’Organisation internationale de la francophonie (OIF). Cette distinction, remise lors d’une cérémonie au Palais des Nations à Genève, récompense chaque année une personnalité et une institution qui se sont particulièrement illustrées en faveur de la promotion des valeurs qui caractérisent la francophonie.
Aux côtés du Club suisse de la presse, primé dans la catégorie des institutions, le GAF a distingué une personnalité de premier ordre de la Genève internationale, Madame Ngozi Okonjo-Iweala, Directrice générale de l’Organisation mondiale du commerce, originaire du Nigéria. Les prix sont remis ce lundi sous la haute autorité de Monsieur Georges Naykseu-Nguefang, représentant permanent de l’OIF auprès des Nations Unies à Genève et à Vienne, en présence de Madame Tatiana Valovaya, Directrice générale de l’ONU à Genève.
Une belle reconnaissance pour le Club suisse de la presse
Basé à Genève, le Club suisse de la presse constitue une plateforme de débats et d’informations dédiée aux journalistes de la presse suisse et internationale, ainsi qu’à des organisations et institutions actives sur le plan international. Il organise notamment des conférences et conférences de presse en lien avec les grandes thématiques traitées par la Genève internationale. Il défend activement la liberté de la presse et met sur pied des événements et panels portant sur les enjeux de l’information et des médias. Le Club suisse de la presse compte près de 300 membres individuels et collectifs, dont les principaux médias et groupes de presse suisses.
Le Club suisse de la presse et son président, Monsieur Denis Etienne, sont extrêmement honorés de ce prix, de même que le directeur exécutif du Club suisse de la presse, Monsieur Pierre Ruetschi, qui rappelle: “Le français reste la première langue du Club. Une institution comme la nôtre, basée à Genève, doit dans la mesure du possible privilégier le français et le multilinguisme pour refléter la diversité culturelle propre à l’ONU et à la Genève internationale. Ce croisement des langues et des cultures constitue un atout certain pour relever les grands défis internationaux débattus à Genève”.