PostFinance mise les nouveaux codes de communication pour toucher un public plus jeune
Une banque qui n’est pas sur la Paradeplatz ? C’est tout à fait normal. Vous portez des pantalons de survêtement aux consultations d’investissement ? C’est tout à fait normal. Vous avez trouvé Twint, mais ne l’avez pas utilisé ? C’est tout à fait normal. Juste PostFinance.
PostFinance lance une campagne d’image centrée autour d’un élément de langage très courant. Comme le refrain le répète en boucle dans la bande son originale, beaucoup de choses sont « tout à fait normales » pour PostFinance. Au cœur de la campagne, les atouts visuels montrent les multiples facettes de la population suisse dans des instantanés de vie où tout n’est pas toujours « tout à fait normal ».
Casser les codes
« Avec cette campagne d’image, nous communiquons une grande partie de ce qui est dans notre ADN en tant que banque de détail. Nous traduisons notre image de nous-mêmes, notre retenue dans le dialogue avec les clients. Avec ce clip communicatif, nous avons exactement l’instrument adéquat pour cela. C’est le tremplin idéal pour une multitude d’attitudes dans le cadre de services innovants et des besoins variés de nos clients », déclare Dennis Lengacher, responsable du concept marketing chez PostFinance.
La campagne d’image a été mise en œuvre en un temps record, en étroite collaboration entre les équipes de PostFinance et de Jung von Matt Limmat : « Les équipes se sont réunies en très peu de temps pour former une unité qui a fonctionné d’égal à égal et avec une grande compréhension commune. Ici aussi, le principe directeur de la campagne s’est traduit par des actions concrètes », déclare Thomas Steiner, directeur de clientèle de Jung von Matt LIMMAT.
La campagne est diffusée depuis le 8 novembre dans tout le pays sous la forme d’un spot TV, d’une vidéo en ligne, à la radio, dans les lieux d’affichage, sur les panneaux publicitaires et sur les médias sociaux. Il a également fait l’objet d’une interprétation créative sur TikTok avec les collaborateurs.
