Pour Properstar, Trio a misé sur le duo de choc : IA + DA
Des maisons classiques, un salon impeccable, la famille parfaite, des barbecues dans un jardin, des agents immobiliers en costume-cravate, … Ancrée dans le réel et descriptive, la communication immobilière a souvent le même visage.
Changement de stratégie pour l’agence Trio. L’équipe direction artistique et copywriting s’est creusée la tête pour créer un concept visuel et textuel au goût de rêve et d’ailleurs pour la plateforme immobilière romande : Properstar.
L’objectif : montrer que si les recherches des clients sont parfois irréalistes, les talents de Properstar pour dénicher les maisons-pépites sont, eux, bien réels ! Cela donne, une maison flottant dans une forêt luxuriante avec vue sur une réserve naturelle, une demeure baignant dans un univers rose bonbon avec vue panoramique sur le septième ciel, une villa avec piscine intérieure ET lac extérieur, … Ces biens si parfaits qu’ils semblent tirés d’un conte de fées n’existent pas que dans nos rêves ! Grâce aux critères de recherche de la plateforme immobilière et à l’intelligence artificielle qu’elle utilise depuis des années pour cartographier finement les biens, Properstar est capable de dénicher tous types de biens, même les plus inattendus. Logique que le message de la toute nouvelle campagne soit : « Si elle existe, Properstar la trouvera ».
IA + DA = un duo de choc
Le tout a été orchestré par un duo d’experts : une IA d’une part, le DA de l’autre. En effet, pour marier la beauté des images et la réalité du message, Gérard Paratte, CEO de Properstar, a autorisé l’agence au poulpe à utiliser l’IA.
En toute transparence, donc, et tentacules dans la main avec le client, Trio a utilisé Adobe FireFly pour générer rapidement des images de biens irréels. Et pour tenir les délais, cela n’a pas été de trop Fabian Monod, Art Director de l’Agence, explique : “J’ai pris du temps à définir une direction esthétique et construire un prompt de briefing qui soit complet. Sans cela, l’IA peut avoir de la peine à comprendre la demande et chacun de ses essais pour re-générer un visuel étant moins précis que le premier, l’outil finit par s’épuiser. C’est comme une source qui se tarit !”