Voici 10 ans, le gratuit 20 minutes était lancé en Suisse romande
Lancé le 8 mars 2006 en Suisse romande, 20 minutes fête aujourd’hui son dixième anniversaire. 10 ans de succès pour une marque qui a fait le pari de la gratuité et qui s’est largement imposée dans le paysage médiatique de Suisse romande. Chaque jour, 689’000 personnes sont en contact avec 20 minutes, tous supports confondus. (Source: Total Audience 1.4 2015-2)
Il y a 10 ans, 20 minutes était avant tout un journal, accompagné d’un site web. Aujourd’hui, la marque est devenue une plateforme digitale qui édite également un journal. Une transformation qui a permis à 20 minutes d’étudier sans cesse le comportement et les besoins de ses lecteurs et annonceurs, et qui a su adapter son offre via de nouveaux vecteurs de communication et de nouvelles tendances marketing.
Créative et innovante, la marque l’a été tout au long de ces 10 ans. Les derniers “coups” de 20 minutes: lancement en 2015 d’une application entièrement revisitée proposant quatre univers différents aux utilisateurs. Avec plus de 3,7 millions de téléchargements, cette application fait partie des plus populaires sur le marché suisse – Friday, nouvelle marque lifestyle et people lancée il y a quelques mois et qui a immédiatement séduit son public cible – En février dernier, la plateforme numérique Tilllate a été entièrement repensée et s’est positionnée sous le label 20 minutes Tilllate comme la plateforme pour le jeune public suisse. Enfin, dès aujourd’hui, un Designrefresh du journal est proposé dans toute la Suisse. Les lecteurs découvrent ainsi dans la version papier les couleurs et le design des quatre univers de la nouvelle application.
Le succès de 20 minutes en 10 ans repose avant tout sur des équipes motivées, en place depuis plusieurs années, et qui ont intégré la culture du changement. 20 minutes, c’est une équipe de journalistes, commerciaux et techniciens qui travaille sérieusement, sans se prendre au sérieux pour une marque novatrice qui a bouleversé le marché, aussi bien chez les jeunes lecteurs que les annonceurs.
